Chiffrer le coût global de la quarantaine ?
A l’heure où on ne sait pas quand ni comment le gouvernement français nous laissera sortir de quarantaine, en nous faisant avaler la pilule de quinzaine en quinzaine, la question est de savoir si quelqu’un a pensé à chiffrer le coût social et politique de cet arrêt clinique de la société, aux résultats médicaux discutables qui risque de s’avérer catastrophique pour l’économie, donc pour la paix, donc pour la vie…
L’individu mis à la présidence d’une République agonisante après matraquage des médias aux mains de l’oligarchie, Emmanuel Macron, a maintenant délégué les décisions importantes à son premier ministre, qui s’en remet lui-même à des experts non-élus, dans une chaîne de dilution des responsabilités ressemblant à un syndicat de faillite animé par, Sibeth Ndiaye, le clown en pyjama qui ment en rigolant et qui ne sait pas mettre un masque. Parfois ils se réfèrent à l’OMS, qui est largement à l’écoute de Bill Gates et de sa fondation aux objectifs avoués de dépopulation, de vaccinations généralisés et de puçage de l’humanité pour mieux la techno-gérer en flux tendu ; cette fabuleuse gestion de ceux-qui-savent qui mènent aujourd’hui à la casse de l’hôpital à son incapacité à faire fasse à une pandémie. Nous n’avons élus ni le comité ‘scientifique’ Covid-19 de Philippe, ni l’OMS, ni l’ONU.
Si, par principe de charité, on suppose de la compétences aux experts nationaux et de l’honnêteté non-guidée par les laboratoires pharmaceutiques vendeurs de vaccins, rappelons que ces gens-là doivent sauver des vies à court terme. On ne leur reprochera pas leur manque de vision politique, ce n’est pas leur rôle.
L’homme politique, lui, oui, le doit. Il doit comprendre globalement les problèmes et sur le long terme. Il peut donc envisager l’ensemble des conséquences d’une quarantaine. Et se demander à quoi sert de sauver ces vies entre mars et mai 2020, si celles-ci sortent de l’hôpital pour se retrouver bientôt au milieu d’un monde sans économie, qui a faim et se retrouve alors en pleine guerre civile. En effet, à quoi sert de sauver 10, 20, peut-être 30 000 vies, si demain des luttes intestines conduisent à des milliers et des milliers de morts, avec des rancunes tenaces qui laisseront des traces bien plus dures dans les familles que le deuil dû à la maladie ?
Le politique peut accepter de sacrifier des milliers de vie à court terme, si cela peut sauver son peuple à moyen et long terme. Tout général, pour reprendre le vocabulaire martial du banquier présidentiel, le sait et l’assume personnellement quand il doit sacrifier des hommes pour gagner des batailles et la guerre. Il faut du courage, pour cela, et c’est peu dire que si cette classe politique en avait autant qu’elle a de toupet pour mentir, elle marquerait l’Histoire autrement que par sa nullité.
Or que voit-on en France ? Déjà les premières délations commencent… Les drones sont sortis, les téléphones tous les jours plus en voie d’être tracés, le tissu social se délite. Les gens chargés de nous protéger, ceux qui ont été envoyés frapper des pompiers, des « gilets jaunes » ou … des infirmières en grève, sont aujourd’hui – sans masques –, largués dans les rues comme des agents étrangers au peuple et chargés de contrôler les « Ausweiss ». Le techno-fascisme est en marche. Alors, à quoi sert de sauver des vies à court et moyen terme, si la seule issue qui est créée par cette détention absurde conduit à un régime policier dans lequel nous serons tous des cochons en batterie, tous potentiellement terroristes un jour ou l’autre pour penser différemment de Grand Frère ou pour refuser un vaccin, omnicontrôlés et avec pour seul horizon la dépression, voire le suicide ?
Au Postillon de Colmar et chez les gilets jaunes du bassin de vie de Colmar, nous attendons des élus locaux, des deux députés et des maires de l’agglomération qu’ils s’engagent dans des actes forts de protection des libertés et de sauvegarde des outils de productions, avant que l’Armée soit de plus en plus occupée à surveiller le peuple en détention préventive, à mater des quartiers pratiquement non-confinables1 et à instaurer un climat de terreur. Nous souhaitons qu’ils appellent à un vrai général en chef à la tête de la nation, prêt à remettre la nation sur ses pieds et les citoyens à l’œuvre.
Il n’y a pas à opposer l’économie et les vies ; l’économie qui fonctionne et reste juste, c’est, justement, ce qui permet la vie. La vie de tous et durablement. Là, nous allons collectivement vers une euthanasie menée par une fausse élite anti-aristocratique arrogante et qui ne nous veut pas du bien. La récente passe d’armes entre le ministère de la santé (aux mains des laboratoires ?) et l’Inserm d’une part, et d’autre part un institut marseillais vite soutenu par le peuple et les élus locaux de PACA, montre que nous ne devons pas tout attendre d’une capitale-monde dépassée, coupée de sa nation et soumise à des injonctions internationales.
Cette mesure de réclusion, de neutralisation sociale et d’improductivité forcée est totalement suicidaire. Pour tous : jeunes et vieux, gens sains d’esprit et… ceux qui deviennent fous.
Le coût de cette bêtise collective aura énormément d’effets encore cachés. Qui les comptabilisera ?
Après le fiasco le fascisme ?
Paris a fauté, Bruxelles est aujourd’hui inexistante, ces lieux infestés par les lobbys ont peur de la vindicte populaire (qui ne doit pas avoir lieu hors de la justice, fut-elle d’exception lorsque tout ceci sera derrière nous). Ces gouvernants non-élus à Bruxelles, à l’ONU, et ces administrateurs de la province « France » de l’empire (Paris) risquent de tenter des paris fous et des fuites en avant pour ne jamais nous libérer.
Nous attendons donc des élus de faire la demande d’assouplir la mesure du confinement strict, compréhensible à courte terme si elle cherche à aplatir et décaler la courbe, mais mortifère à plus long terme, si elle doit se maintenir. Nous pouvons éventuellement réclamer un confinement plus raisonnable, pour permettre au moins à tous les gens qui produisent de (re)démarrer toute l’économie locale, les soins, la production de biens et services nécessaires ainsi que les sorties raisonnables avec masques nécessaires à la santé mentale ?
Nous croyons que, tous, nous voulons éviter que les seules solutions qui nous restent après la ruine, la fermeture des banques et la disparition de la monnaie, soit ou bien un système néo-trotskiste où l’Etat contrôle tout, façon crédit social à la chinoise (système qui réalise la synthèse du pire du fascisme italien et de l’Union soviétique), ou bien une non-société où l’homme est un loup pour l’homme. Si le système des marchés, les banques et les monnaies doivent s’effondrer nous préférions qu’on l’anticipe, à la faveur d’un retour au bon sens gaulois et médiéval, celui qui nous a donné l’héritage de ce royaume qu’on venait visiter de partout dans le monde ! Soyons, nous aussi, à la hauteur de notre terre, de notre Histoire, et de notre nom : la France – le pays des hommes libres !
Nous nous demandons souvent comment nos voisins allemands, si sympathiques et si civilisés, se sont laissé embrigader dans le Nazisme, comment d’autres sont allés dans les camps en toute confiance et sans croire au pire. Nous assistons jour après jour à cette mise en place d’un totalitarisme qu’on nous promet provisoire ; le nazisme le fut pour 12 ans, le bolchévisme 70 ans… Que les élus ne soient pas les « Gauleiters » d’aujourd’hui, qu’on ne transforme pas nos militaires en outil de répression et d’encadrement totalitaire, sortons de cette spirale, sachons raisonner maintenant et conjurer l’histoire funeste et macabre actuellement en marche forcée.
Nous demandons donc aux élus nationaux et locaux de prendre des décisions, de faire face à leurs responsabilités. Les gilets jaunes ont pris les leurs en tentant d’aller chercher Manu, à la nullité aujourd’hui incontestable par tous, chez lui, chez nous à l’Elysée, et en sommes revenus gazés et éborgnés. Aujourd’hui est un moment important de leurs mandats. La première ou la dernière selon les situations, mais il y a des décisions à prendre qui engagent :
opposez-vous à ce confinement total suicidaire !
Nous ne sommes et ne voulons pas être des rats de laboratoire. Des masques, des tests, et tous dehors : nous avons un pays à sauver collectivement.
Entête : “Momentary Liberation” par Joel Penner