Samedi 26 février 2022, rendez-vous est donné au Champ-de-Mars, à 14h, pour la 31ème marche fraternelle colmarienne.
Lors de la première salve de prises de parole sur le kiosque, on peut noter que Benoit Legrand menace de se faire un peu chahuter lorsqu’il essaye de parler de Vladimir Poutine et de la Russie – sujet chaud du moment qui a évincé le Covid en deux temps trois bombes – mais relaxe tout de suite l’assemblée lorsqu’il enchaine sur un petit exposé concernant la propagande médiatique (présente chez tous les Etats) et la nécessité de rétablir l’équilibre dans la narration des faits.
On note aussi que cette fois-ci Christophe K./Obelix, n’est pas là, mais c’est une petite dame qui demande à l’assistance de la contacter au cas où des gens auraient donné de l’argent à ce monsieur, car celui-ci, que ce soit pour la cagnotte des soignants suspendus sans salaire (qui ne lui avaient rien demandé) ou son projet de maison de la liberté, serait parti avec l’argent sans avoir reversé ou fait avancer quoi que ce soit du projet pour le moment.
Puis le cortège s’ébranle pour se rendre sur l’avenue de la République au niveau de la Poste et rue Kléber.
Puis tout le monde se retrouve rue des Unterlinden, place des Unterlinden, rue des Clefs, rue des Prêtres, le tour de la Collégiale St Martin, rue de l’Eglise, Grand Rue et autour de la fontaine Schwendi où a lieu un deuxième moment de prise de parole, animé par Julie.
Les quelques 500 personnes continuent rue des Vignerons et s’arrêtent place du Marché aux Fleurs, face au Tribunal Judiciaire, pour un troisième temp de prise paroles animés par Céline, suspendue de l’hôpital Schweitzer, et Robert, qui demande semaine après semaine que la maman du petit Emmanuel vienne récupérer son sale môme.
Tout le monde repart ensuite de nouveau sur la Grand rue, la rue des Blés, rue Bruat jusqu’à un petit arrêt devant la Préfecture.
Le “Chant des partisans” (aux paroles modifiées) est chanté devant la Préfecture du Haut-Rhin, et l’endroit est vite déserté, laissant la dizaine de policiers censés défendre la république en danger à leur inutilité.
Enfin retour au Champ-de-Mars.