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Dans le pays réel
Après la première manifestation du 17 juillet contre le pass sanitaire1 et pour la liberté “vaccinale”, ce sont plus de 4000 mille personnes qui nous sommes réunies à Colmar pour un deuxième moment de soutien des libertés, en ce samedi 24 juillet 2021.
Comme la semaine précédente, tout commence place de la Mairie, à 14h. La place paraît moins bondée que précédemment, mais beaucoup de personnes sont restées dans la rue des clefs, faute de pouvoir parvenir à se faufiler sur la place, laissant toute une partie vide. Beaucoup sont venus habillés en blanc et avec des drapeaux blancs, en signe de paix et pour répondre l’appel paranoïaque et bête qui a circulé sur les réseaux sociaux les jours précédents, disant que les forces de l’ordre pourraient verbaliser ou èlbédifier les gilets jaunes ou autres manifestants affichants des couleurs (méta-)politiques. Quelques policiers municipaux, une dizaine de nationaux tout au plus, en uniforme et humains2, sont là pour s’assurer que tout se passe bien ; présence discrète et sans provocation, la bonne intelligence étant toujours de mise des deux côtés du pistolet, dans notre ville.
De là, à un coin de l’horrible fontaine en forme de pyramide, les prises de paroles courtes, variées et intéressantes s’enchainent. Telle témoigne de ce qu’elle vit, tel autre galvanise la foule dans un phrasé vieille France qui pétille dans les oreilles, tel autre chante un peu de la « Tendresse » de N. Roux et H. Giraud interprétée par Bourvil, telle encore raconte la pression mise sur les soignants. Un groupe de musique contemporaine venu de Munster pour pousser la chansonnette attend son batteur, qui ne viendra jamais ; le mini-concert sera annulé (ou reporté à une date ultérieure ?) mais un peu de la culture3 a failli être avec nous.
Au bout d’un certain temps le cortège, peuplé de tout ce que porte le pays de (très) jeunes et de (très) vieux, de républicains (affichant drapeaux tricolores, bonnets phrygiens et Marianne) ou de royalistes plus discrets, de toutes couleurs de peau et politiques, de toutes religions, mais tous unis par la même idée qu’ils se font de la dignité et de la liberté, se met en branle vers le parc du Champs de Mars. On peut même à l’occasion parler avec les forces de l’ordre marchant au milieu de nous, leur conseillant de prendre la place du tyran à Paris pour minimiser la violence, avant que le Pouvoir illégitime ne fasse d’eux des nazillons involontaires et que le peuple n’ait plus de respect pour ce qui sera devenu une milice bancaire, des collecteurs d’impôts via l’amende pour tout et rien ou des ennemis de l’étranger. On n’attend pas de réponse, aujourd’hui4, de la part de ceux qui n’ont pas le droit de dire ce qu’ils pensent et qui gardent un silence gêné qu’on comprend bien ; on leur demande juste d’y penser sérieusement et de se souvenir que le peuple est là s’il faut donner un coup de main ou de fusil en dernier ressort – éviter la guerre civile à tout prix.
C’est à côté des jets d’eau et sous l’œil impassible du général Rapp et des drapeaux du monde entier5 qu’une « Marseillaise » retentit ; certains n’ont pas compris que la phase de république universelle et ce 1793 sanitaire qui point est compris dans le plan des putschistes de 1789 depuis des décennies déjà. On ne peut lutter contre des années de propagande républicaine professée par des petits soldats bienpensants en quelques mois de prises de conscience, sans doute faut-il aller pédagogiquement au bout de l’impasse pour que, acculés sur le mur de la réalité, certains envisagent de le détruire…
Avant cela, courte pose et tout le monde passe à côté de la Préfecture du Haut-Rhin – dont le parvis a été interdit aux manifestants, le bâtiment se cachant derrière des barrières de trouille honteuse – pour bifurquer sur l’avenue de la République. On ne note aucun slogan politique dans la foule, rien qui ne parle des pions actuels du régime républicain ou rien de plus général contestant le régime économico-politique, sinon des valeurs humaines (et surtout la liberté de choisir ce qu’on s’injecte ou pas dans le sang) ou de la manipulation covidique en cours. Aucun « Macron destitution ! » ni appel à des élections anticipées, mais des « liberté ! liberté ! » consensuels et rassembleurs scandés de temps en temps.
La marche arrivée au niveau du pont au-dessus des rails de chemin de fer, les cris retentissent puisque la tête de file, redescendant déjà du côté de la rue du Tir, voit de l’autre côté ceux qui montent depuis la rue de la gare (et vice versa évidemment). On se salue comme les tribunes d’un stade se répondant, on visualise un peu le nombre, on se sent forts et en fusion dans un frisson que l’instant présent rend plus palpable et que les photographies n’arriveront jamais à retranscrire.
Après avoir remonté l’avenue de la liberté le point final est atteint : l’entrée principale des Hôpitaux Civils de Colmar (HCC) en soutien aux soignants, premiers touchés par l’obligation faite par Manu le pion de l’oligarchie mondiale, de s’injecter des produits géniques au 15 septembre au plus tard. Regroupée sous les arbres du petit carré d’herbe qui forme une petite place précédent l’entrée de l’hôpital, l’assemblée écoute une nouvelle salve de prises de parole. On avoue humblement n’avoir pas été très assidus alors, entendant une petite fille appeler à la liberté, une vieille fille participer à la demi-heure des dingos, qui nous apprend que le signe delta (Δ) du variant rigolo qui ne tue personne, est un symbole maçonnique6, ou tel ou tel lanceur d’alertes sauvage appelant à voir telle vidéo sur Odysee, Bitchute ou Rumble, le tout étant ponctué par une deuxième version de la « Tendresse » chantée par le même chanteur en herbe que plus tôt, qui réussit la prouesse de faire fuir, sur les coups de 16h et de la fatigue, une bonne centaine de personnes en un grand exode vers le centre-ville.
Les quelques personnes qui discutent encore sur l’avenue de la liberté quand tout le monde se disperse, sont invitées par la commissaire de police, Mme Peyret, à laisser la place aux automobilistes, et hormis quelques troupes éparses de manifestants retournant à leur tour vers la zone à touristes, plus rien n’indique que dans la ville une des plus grosses manifestations des dernières années vient juste d’avoir lieu dans le calme, la dignité et l’honneur.
Quelques uns, qu’on reconnaît à leurs drapeaux ou leur accoutrement, se mêlent aux vaccinés et étrangers, profitant des terrasses qui leur seront refusées bientôt en vertu des lois de ségrégation génique, et tout le monde s’en retourne chez soi, prenant rendez-vous pour le samedi prochain (pendant combien de temps encore ?)
Extrait vidéo des prises de parole
Dans la presse oligarchique sous perfusion étatique
Pour les DNAlsace (Crédit Mutuel + Etat ; 25/07), le peuple c’est une bande de casseurs…
- Et l’omnicontrôle numérique en général, puisque nous avons compris que le Covid-19 n’est qu’une mise-en-scène pour créer un système de crédit social basé sur le modèle chinois)
- Contrairement aux robots imbéciles que l’odieux préfet Lallement aime envoyer aux manifestants à Paris.
- Cette odieuse culture rebelle et insoumise qui se tait et se terre dans la peur de perdre ses croquettes et sa gamelle remplie par la commande publique…
- Pas plus qu’on attendait d’eux qu’ils sortent de leur devoir de réserve, ces deux dernières années de manifestations en gilets jaunes, où on leur prédit sans voir besoin d’être de grands prophètes attallesques, que tout ceci va terminer mal et dans uen gradation macabre, peut-être même dans le bain de sang dont certains ont besoin pour satisfaire des dieux qui trouvent délicate l’odeur du sacrifice.
- Outre d’être la journée mondiale de l’ivermectine, ce 24 juillet 2021 voyait des peuples du monde entier défiler contre le même plan mondial à l’œuvre dans chacun des pays, avec partout le même narratif et les mêmes marionnettes interchangeables.
- Comme si les Grecs antiques, qui n’avaient pas encore entendu parler du Christianisme et de la Trinité alors, avaient pu imaginer que le symbole du triangle eût pu être détourné par les singes du Diable, quand ils en ont fait la majuscule de la quatrième lettre d’un alphabet qu’on reprend régulièrement pour numéroter ceci ou cela…